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C'est simple !
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C'est simple !
Il existe des situations où le PJ ne combattra pas, mais tentera de réaliser une action : bluff, troc, diplomatie, etc…Tout ce qui pourra être joué en RP est à privilégier, mais parfois, il est toujours bon de savoir où va le vent dans ce genre d’affaire pour adapter son RP. Il existe alors deux types de jets.
Le PJ est confronté à quelque chose ne possédant rien d’équivalent, le plus souvent du domaine « non vivant ». Ainsi, d’un PJ tentant un jet d’équilibre pour éviter de perdre pied alors qu’il traverse une planche en bois au-dessus du vide. Il s’agit alors d’un JET DE DIFFICULTE. Celle-ci est estimée par le Muage ou MoW, en utilisant le tableau suivant, sachant qu’une difficulté moyenne de jour peut devenir difficile ou plus de nuit ou selon les conditions de vent par exemple.
Le PJ est confronté à une autre volonté (PJ ou PNJ ou monstre). Dans ce cas, il s’agit d’un JET D’OPPOSITION, qui se résout par chaque joueur lançant 1d20 plus son bonus (par exemple troc contre troc). Le plus élevé remporte l’opposition. En cas d’égalité, celui avec le plus haut bonus obtient l’avantage, mais moindre qu’avec une réussite parfaite. Dans certains cas, une OPPOSITION ratée n’a aucune incidence autre que l’échec. Dans d’autres, elle peut entraîner des conséquences plus ou moins lourde selon le seuil d’échec. Ainsi, un échec en « Intimidation » peut aboutir au fait que la partie l’ayant subi et n’ayant pas succombé passe à l’attaque.
Enfin, en cas d’échec, parfois pour la réussite, il existe une notion de SEUIL. Le SEUIL est la différence entre les deux OPPOSITIONS ou entre le lancer de compétences et la DIFFICULTE. En effet, dans certains cas, il est possible qu’une difficulté soit déterminée, mais assortie d’une condition de SEUIL. Dans ce cas, réussir son jet sans atteindre le seuil n’entraîne qu’une réussite partielle et insuffisante, mais n’est pas considéré comme un échec pour les conséquences.
Par exemple, pour une « intimidation » sur un simple d’esprit, il y de forte chance que je demande un jet de difficulté moyenne avec seuil de 5. Pourquoi ? Parce qu’il n’est pas évident d’intimider un gars qui ne comprend pas ce que vous lui dites, mais je ne souhaite pas pour autant que ne pas réussir à l’intimider entraîne de sa part une réaction, pour la même raison que précédemment.
Le PJ est confronté à quelque chose ne possédant rien d’équivalent, le plus souvent du domaine « non vivant ». Ainsi, d’un PJ tentant un jet d’équilibre pour éviter de perdre pied alors qu’il traverse une planche en bois au-dessus du vide. Il s’agit alors d’un JET DE DIFFICULTE. Celle-ci est estimée par le Muage ou MoW, en utilisant le tableau suivant, sachant qu’une difficulté moyenne de jour peut devenir difficile ou plus de nuit ou selon les conditions de vent par exemple.
Le PJ est confronté à une autre volonté (PJ ou PNJ ou monstre). Dans ce cas, il s’agit d’un JET D’OPPOSITION, qui se résout par chaque joueur lançant 1d20 plus son bonus (par exemple troc contre troc). Le plus élevé remporte l’opposition. En cas d’égalité, celui avec le plus haut bonus obtient l’avantage, mais moindre qu’avec une réussite parfaite. Dans certains cas, une OPPOSITION ratée n’a aucune incidence autre que l’échec. Dans d’autres, elle peut entraîner des conséquences plus ou moins lourde selon le seuil d’échec. Ainsi, un échec en « Intimidation » peut aboutir au fait que la partie l’ayant subi et n’ayant pas succombé passe à l’attaque.
Enfin, en cas d’échec, parfois pour la réussite, il existe une notion de SEUIL. Le SEUIL est la différence entre les deux OPPOSITIONS ou entre le lancer de compétences et la DIFFICULTE. En effet, dans certains cas, il est possible qu’une difficulté soit déterminée, mais assortie d’une condition de SEUIL. Dans ce cas, réussir son jet sans atteindre le seuil n’entraîne qu’une réussite partielle et insuffisante, mais n’est pas considéré comme un échec pour les conséquences.
Par exemple, pour une « intimidation » sur un simple d’esprit, il y de forte chance que je demande un jet de difficulté moyenne avec seuil de 5. Pourquoi ? Parce qu’il n’est pas évident d’intimider un gars qui ne comprend pas ce que vous lui dites, mais je ne souhaite pas pour autant que ne pas réussir à l’intimider entraîne de sa part une réaction, pour la même raison que précédemment.
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