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Chez les Wøls
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Chez les Wøls
Les Wøls ont mis au point une grande quantité de moyens de transports. On distingue trois grandes catégories : les vaissairs, les vaissables et les vélis. Pour les vaissairs, ils ont été imités par les Ekes, mais ils restent les seuls à avoir créer des vaissables et des vélis. Un vaissair et un moyen de transport évoluant dans les airs, tandis qu’un vaissable évolue au sol et qu’un véli peut évoluer dans les deux mais doit sa propulsion à la force des jambes (comme un vélo).
Il existe une relation intime entre un vaissair ou un vaissable et l’élément dans lequel il évolue. L’élément le plus capricieux et difficile reste dans les deux cas le vent, qui n’est pas véritablement associé à l’Air. L’air se meut sous l’effet du vent, mais l’air ne forme pas le vent selon les Wøls. Le vent vient du Père-Dieu, il est son souffle sur le monde (difficile de savoir s’il s’agit d’une représentation religieuse de la création de NfëMna par Chogyun Trungpa ou son accession à l’existence sous la forme de FëuMna par l’Ë). Cette relation intime fait que les vaissairs ou vaissable utilisent tous les deux le vent, mais dans un milieu différent (air ou sable). Ils utilisent, cela signifie que tout à bord est fait pour que le vent devienne la source de l’énergie, la source de l’action. Jamais un Wøl mépriserait le vent comme les Ekes, au point de s’en passer ou de lui donner un rôle secondaire. Le vent est ce qui meut, et le mouvement c’est la vie. Le vent est la vie et les vaissairs ou vaissables sont à ce titre des entités vivantes.
A bord, on trouve les métiers courants de marin, et ceux plus spécialisés qui permettent à ces constructions d’espérer échapper à la destruction dans ce monde difficile. Ainsi, les incontournables sont l’Aéromaître, qui sent les vents, l’Aerien et le Geologue selon le type de bâtiment et les capitaines. Il y a toujours deux capitaines à bord des vaissairs et vaissables, l’un étant spécialisé dans l’amont (remonter face au vent, tirer des bords) et l’autre dans l’aval (descendre les vents, maîtriser la vitesse). Bien sûr, plein d’autres métiers sont nécessaires, depuis les Artisans (bois et métal essentiellement), jusqu’à tous ceux qui permettent de survivre quand il faut ancrer. Mais tous les vaissairs ou vaissables n’en ont pas les moyens.
Les vaissairs se découpent en trois classes : les voilairs, les drakairs et les caravairs. Les Voilairs sont des sortes de deltaplane portant l’équivalent d’une petite barque. Les Drakkairs sont plus gros, souvent munis d’un à deux mâts, avec des structures de voile en général traditionnelles, mais il existe quelques excentricités dont l’Oiseau des Airs, un Drakkair très léger et particulièrement rapide. Enfin, la catégorie Caravair est unique en ce qu’il n’existe qu’un seul vaissair ayant atteint cette taille, la Physalis, menée par l’Escadre Frêle, vaissair de légende capable de remonter un furvent.
Un drakkair un mât et un drakkair deux mâts. On notera sur le premier un système d’hélices, mais on distingue nettement les pharéoles qui permettent de convertir le vent vertical en poussée et en sustentation.
L'Oiseau des Airs à l'amarre et en vol.
La Physalis, unique Caravair du Wøl’Drun.
La catégorie des vaissables comprend deux classes : les chars et les sablevents (ou carasable). Les chars sont très variés, allant des chars monoplaces aux chars immenses à quatre roues. Le principe reste toutefois qu’ils sont montés sur des roues. Le sablevent en revanche est une coque de bateau capable de naviguer dans les sables, grâce à l’usage des connaissances des Géologues pour en réduire les frottements.
Les vaissables de la classe « char » peuvent remonter des vents ne dépassant par le la stèche, tandis que la classe « sablevent » peut remonter un furvent.
Chars à voile, monoplace et à quatre roues.
Le sablevent Le Voldor, lui aussi unique représentant de sa classe dans sa catégorie.
Enfin, la catégorie des Vélis possède trois classes, les vélivoles, les vélichars et les vélices. Tous possèdent une voile, ainsi qu’une structure basique sur lequel un ou des individus utilisent la force musculaire pour la convertir en vitesse de propulsion. La différence est que dans les deux premières classes, la vitesse est horizontale tandis qu’elle est verticale dans la dernière. La différence avec les « Vessies » Ekes et que la sustentation est obtenue par des pharéoles, donc par le vent. La voile servant ensuite à utiliser le vent pour se diriger. Cette catégorie est donc incapable de remonter un vent. En général, elles amontent à la force des jambes, puis avalent à la voile. Le cas de la vélice est plus difficile car elle a beaucoup de mal à effectuer des déplacements horizontaux. Elle est donc plutôt réservée aux zones montagneuses et aux cités où elle permet de desservir les différents niveaux ou étages.
Il existe une relation intime entre un vaissair ou un vaissable et l’élément dans lequel il évolue. L’élément le plus capricieux et difficile reste dans les deux cas le vent, qui n’est pas véritablement associé à l’Air. L’air se meut sous l’effet du vent, mais l’air ne forme pas le vent selon les Wøls. Le vent vient du Père-Dieu, il est son souffle sur le monde (difficile de savoir s’il s’agit d’une représentation religieuse de la création de NfëMna par Chogyun Trungpa ou son accession à l’existence sous la forme de FëuMna par l’Ë). Cette relation intime fait que les vaissairs ou vaissable utilisent tous les deux le vent, mais dans un milieu différent (air ou sable). Ils utilisent, cela signifie que tout à bord est fait pour que le vent devienne la source de l’énergie, la source de l’action. Jamais un Wøl mépriserait le vent comme les Ekes, au point de s’en passer ou de lui donner un rôle secondaire. Le vent est ce qui meut, et le mouvement c’est la vie. Le vent est la vie et les vaissairs ou vaissables sont à ce titre des entités vivantes.
A bord, on trouve les métiers courants de marin, et ceux plus spécialisés qui permettent à ces constructions d’espérer échapper à la destruction dans ce monde difficile. Ainsi, les incontournables sont l’Aéromaître, qui sent les vents, l’Aerien et le Geologue selon le type de bâtiment et les capitaines. Il y a toujours deux capitaines à bord des vaissairs et vaissables, l’un étant spécialisé dans l’amont (remonter face au vent, tirer des bords) et l’autre dans l’aval (descendre les vents, maîtriser la vitesse). Bien sûr, plein d’autres métiers sont nécessaires, depuis les Artisans (bois et métal essentiellement), jusqu’à tous ceux qui permettent de survivre quand il faut ancrer. Mais tous les vaissairs ou vaissables n’en ont pas les moyens.
Les vaissairs se découpent en trois classes : les voilairs, les drakairs et les caravairs. Les Voilairs sont des sortes de deltaplane portant l’équivalent d’une petite barque. Les Drakkairs sont plus gros, souvent munis d’un à deux mâts, avec des structures de voile en général traditionnelles, mais il existe quelques excentricités dont l’Oiseau des Airs, un Drakkair très léger et particulièrement rapide. Enfin, la catégorie Caravair est unique en ce qu’il n’existe qu’un seul vaissair ayant atteint cette taille, la Physalis, menée par l’Escadre Frêle, vaissair de légende capable de remonter un furvent.
Un drakkair un mât et un drakkair deux mâts. On notera sur le premier un système d’hélices, mais on distingue nettement les pharéoles qui permettent de convertir le vent vertical en poussée et en sustentation.
L'Oiseau des Airs à l'amarre et en vol.
La Physalis, unique Caravair du Wøl’Drun.
La catégorie des vaissables comprend deux classes : les chars et les sablevents (ou carasable). Les chars sont très variés, allant des chars monoplaces aux chars immenses à quatre roues. Le principe reste toutefois qu’ils sont montés sur des roues. Le sablevent en revanche est une coque de bateau capable de naviguer dans les sables, grâce à l’usage des connaissances des Géologues pour en réduire les frottements.
Les vaissables de la classe « char » peuvent remonter des vents ne dépassant par le la stèche, tandis que la classe « sablevent » peut remonter un furvent.
Chars à voile, monoplace et à quatre roues.
Le sablevent Le Voldor, lui aussi unique représentant de sa classe dans sa catégorie.
Enfin, la catégorie des Vélis possède trois classes, les vélivoles, les vélichars et les vélices. Tous possèdent une voile, ainsi qu’une structure basique sur lequel un ou des individus utilisent la force musculaire pour la convertir en vitesse de propulsion. La différence est que dans les deux premières classes, la vitesse est horizontale tandis qu’elle est verticale dans la dernière. La différence avec les « Vessies » Ekes et que la sustentation est obtenue par des pharéoles, donc par le vent. La voile servant ensuite à utiliser le vent pour se diriger. Cette catégorie est donc incapable de remonter un vent. En général, elles amontent à la force des jambes, puis avalent à la voile. Le cas de la vélice est plus difficile car elle a beaucoup de mal à effectuer des déplacements horizontaux. Elle est donc plutôt réservée aux zones montagneuses et aux cités où elle permet de desservir les différents niveaux ou étages.
Re: Chez les Wøls
Voilice : petit-voilier hélice, summum de l'art de la construction Wol. Adapté pour un seul individu, il est rapide, adaptable, et capable de s'arrêter sous un Furvent en protégeant son capitaine.
Il possède 4 roues orientables, souvent portant chacune un lance-harpon. Les roues sont rétractables quand les conditions le permettent. Elles servent aussi d'ancres. Il suffit alors de rétracter les roues au sol, et d'utiliser les lance harpons avec un harpon spécial pour se pitonner au sol. Cela est utilisé pour s'amarrer quand on est pris par surprise par un mauvais vent, hors d'un port.
La voile est faite de pales aussi fines que des lames mais extrêmement solides. Ces dernières peuvent être utilisées pour remonter un vent en transformant sa vitesse horizontale en mouvement des roues, ou peuvent se ranger les unes contre les autres pour former une voile orientable à 360°. Ces mêmes lames peuvent aussi se refermer formant comme un cocon solide et impénétrable, dans lequel un Wol normal peut prendre place et rester protéger des six premières formes du vent.
L'art de leur construction n'est détenu qu'à Ker Derban, un petit village à l'est de l'Oasis Kulun, en bord de mer. Une Voilice coûte une véritable petite fortune et est l'apanage des plus célèbres Obliques et de quelques Palatins. On murmure que quelques Poursuiveurs en auraient acheter pour traquer la Horde.
On compte moins d'une cinquantaine de Voilices dans tout le Wol'Drun.
Il possède 4 roues orientables, souvent portant chacune un lance-harpon. Les roues sont rétractables quand les conditions le permettent. Elles servent aussi d'ancres. Il suffit alors de rétracter les roues au sol, et d'utiliser les lance harpons avec un harpon spécial pour se pitonner au sol. Cela est utilisé pour s'amarrer quand on est pris par surprise par un mauvais vent, hors d'un port.
La voile est faite de pales aussi fines que des lames mais extrêmement solides. Ces dernières peuvent être utilisées pour remonter un vent en transformant sa vitesse horizontale en mouvement des roues, ou peuvent se ranger les unes contre les autres pour former une voile orientable à 360°. Ces mêmes lames peuvent aussi se refermer formant comme un cocon solide et impénétrable, dans lequel un Wol normal peut prendre place et rester protéger des six premières formes du vent.
L'art de leur construction n'est détenu qu'à Ker Derban, un petit village à l'est de l'Oasis Kulun, en bord de mer. Une Voilice coûte une véritable petite fortune et est l'apanage des plus célèbres Obliques et de quelques Palatins. On murmure que quelques Poursuiveurs en auraient acheter pour traquer la Horde.
On compte moins d'une cinquantaine de Voilices dans tout le Wol'Drun.
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